Surprise Du Mari Dévergondages 16
SURPRISE DU MARI Dévergondages 16
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
« Plus les femmes sont pudibondes, plus elles se vautrent dans la luxure lorsquon sait la leur prodiguer ! »
Florence 27
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud dune taille supérieure dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
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Dans la belle propriété de Lormont, Michel, le mari dOdile est à son bureau, très occupé à visionner des vidéos sur son ordinateur. Étrangement, les images révèlent que les prises de vues ont été effectuées à lintérieur du loft de la place Mitchell, où Odile est suspendue au-dessus du lit rond et se balance, les cuisses écartelées par une barre métallique offrant sa vulve aux yeux de son mari qui se branle dune main. Comment ces images lui sont-elles parvenues ? Mystère !............
Odile a surmonté la honte quelle a éprouvée à se faire prendre en même temps par le jeune Noir et Edmond dans le cinéma porno de Bordeaux. Elle na quune peur, cest quà luniversité, Gérard raconte à sa fille lignominie à laquelle elle sest prêtée en public et la déchéance qui est la sienne. Pour linstant, elle se rassure en pensant que sa fille est en stage dans le cabinet davocats, car grâce à Edmond, Muriel a pu se faire embaucher pour trois mois à Bayonne.
Edmond est de nouveau en déplacement pour deux semaines, Odile reprend haleine, car elle se rend compte quil lentraine à chaque fois plus loin dans une spirale sexuelle qui éprouve sa respectabilité. Surtout que cela va de mieux en mieux avec son mari.
Justement, ce dernier vient de lui proposer de lemmener en Week End, sans lui dire la destination, voulant en garder la surprise. Elle se sent émoustillée et elle sapprête particulièrement, faisant une toilette soignée, shabillant sexy et utilisant pour la première fois avec son mari, les accessoires de lingerie quEdmond lui a achetés : une jolie guêpière grenat agrémentée de dentelle blanche, un shorty assorti ainsi que des bas fumés, une robe printanière en taffetas blanc agrémentée de fleurs, une paire de sandales blanches à talons, Michel pousse un « Ouah » de satisfaction lorsquil la voit ainsi, lembrassant avec une sensualité telle, quOdile le repousse gentiment en lui disant quils auront tout le temps pour en profiter durant les trois jours de vacances quils soctroient.
Michel est un sportif : ce cinquantenaire, cadre supérieur dans la société vinicole de Blaye est un bel homme dun mètre soixante-quinze environ, solidement charpenté et qui pratique régulièrement le vélo, la voile et la nage, quil partage avec sa fille Muriel, déjà plusieurs fois championne universitaire. Il sort du garage, attenant à leur propriété de Lormont, une Volkswagen, cest une « Passat » gris métallisé dun confort exceptionnel. Odile prend place à côté de son mari, se demandant bien où va se passer ce long WE. Michel prend la rocade est de Bordeaux, puis à la hauteur de Villenave dOrnon, il rejoint lautoroute des « deux mers », sort à léchangeur de Langon pour se diriger vers lautre rive en passant sur le pont routier qui supporte aussi le chemin de fer.
Odile est toute chancelante, lorsque son mari la prend par le bras. Ils pénètrent tous les deux à la réception. Le directeur de lhôtel leur souhaite la bienvenue dans ce petit hôtel de charme qui ne comporte que douze chambres. Il ne fait aucune allusion, ne semblant pas reconnaître Odile, avec laquelle il a pourtant bavardé longuement lors de son séjour avec Edmond, vantant son hôtel qui allie selon lui l'harmonie du passé et du présent, dans ce fief du vignoble bordelais, où ses hôtes peuvent profiter dauthentiques chambres girondines, dans une ambiance chaleureuse de vieilles pierres, de sols en terre cuite et des meubles en chêne vieilli. Odile respire enfin librement, soulagée de lextrême discrétion de lhôtelier.
Elle a de nouveau un coup au cur, lorsque son mari, muni de la clé dont elle na pas remarqué le numéro, entre dans la chambre qui a été la sienne durant ces jours fous, dans cette suite de plus de soixante mètres carrés, qui comprend le grand lit à baldaquin avec moustiquaire, un coin salon avec un canapé en L et une table ronde avec trois chaises, une commode, un dressing séparé, etc. La bourgeoise éplorée, se remémore le chantage odieux dont elle a été lobjet, sa peur panique de la divulgation possible des photographies dont elle a été menacée et ce quelle a dû accepter pour éviter le scandale. Sa réputation en aurait été irrémédiablement salie, aussi bien dans son couple et sa famille, que dans son entourage voire même dans son emploi.
Il lui avait fallut accorder ses faveurs à cet homme vieillissant de plus de soixante ans. Cest vrai quelle avait été attirée par lui, mais en ami, en amant.
- Eh bien ma petite chérie, tu mouilles comme une vraie salope. Ouvre tes cuisses que je puisse savourer la fente de ma petite femme. Allons, enlève ta culotte je vais te bouffer la chatte !
Odile est abasourdie, cest la première fois que son homme ose sadresser à elle de cette façon triviale. Elle na jamais accepté quil lui fasse un cunnilingus, trouvant inconvenant doffrir son intimité à une langue, serait-ce celle de son époux. Se pourrait-il quil soit au courant de ses turpitudes avec le vieux notaire et que lavoir amené dans cet hôtel, ne soit pas une coïncidence ? Elle retire prestement son shorty et sa robe, se retrouvant en guêpière et en bas sur ses hauts talons.
Son mari siffle dadmiration.
Bravo ma chérie, tu as tout dune putain de haut rang. Tu pourrais postuler chez Madame Claude, je te prédis un franc succès car tu es magnifique. Allons, viens me pomper le dard !
Odile éclate en sanglots, son mari na plus aucun respect pour elle pense-t-elle. Pourtant les mots vulgaires fouettent son imaginaire, car Edmond ne se gène pas pour la traiter de la sorte. Elle sent la cyprine dégouliner entre ses cuisses et, se mettant à genoux, elle dégrafe la braguette du pantalon de son mari. Sortant le pénis qui est dune rigidité étonnante, elle le prend en bouche et sapplique le mieux quelle le peut. Virevoltant avec sa langue autour de la tige, léchant les bourses et le périnée, poursuivant la caresse linguale dans la raie culière jusquà lillet anal. Michel dont le gland laisse perler quelques gouttes de liquide pré séminal gémit, contrôlant avec peine la montée du sperme dans lurètre. Il murmure.
- Prends-moi entre tes lèvres, chérie je ten supplie vite !
Odile ressent une satisfaction surprenante à ce vit qui réclame sa bouche. Elle sent le pouvoir de la femelle sur le mâle qui réclame une fellation aboutie. Elle sait à ce moment quil est à sa merci et elle enfourne le bâton qui laisse séchapper le liquide pré éjaculatoire, recevant tout à coup, un flot de foutre jusquau fond de la gorge. Michel se libère en poussant de petits gémissements, comme un bébé qui réclame sa mère. Le trop plein de sperme séchappe par la commissure des lèvres dOdile. Celle-ci, la bouche fermée et collée sur la verge de son mari, déglutit le jus poisseux qui coule dans sa gorge, éprouvant un sentiment de victoire sur le mâle quelle sent à sa merci.
Michel, se penchant, lembrasse tout en la prenant dans ses bras, il lui caresse le visage et lui dit quil laime. Odile nose pas le regarder, ayant encore un peu honte de sêtre laisser aller, mais elle gémit lorsque son mari sort les deux mamelles du haut de sa guêpière. Il prend les deux tétons turgescents entre ses doigts et le étirent le plus possible tout en les pinçant de plus en plus forts. Sous la douleur lancinante, Odile se laisse aller à geindre tout en ressentant une certaine jouissance de la souffrance quelle éprouve. Alors que le supplice devient intense, elle a un bref orgasme qui la laisse pantelante. Michel lui masse délicatement les mamelons et prenant alternativement les tétins entre ses lèvres, il les suce occasionnant des spasmes de bonheur à sa femme enfin réceptive à ses sens.
Reconnaissante, elle reprend la queue dans une main, la caressant avec douceur, tandis que Michel, écartant les cuisses de son épouse, vient enfin tenir sa promesse en léchant la vulve délicatement. La langue effleure pour la première fois son entrecuisse, écarte les grandes lèvres et senfonce le plus loin possible dans les chairs vaginales, faisant des circonvolutions autour du clitoris qui pointe outrageusement hors de son capuchon. Il lèche et bave sur la raie culière, infiltrant même sa langue dans lillet en le léchant profondément. Il lui enfonce son index dans le trou du cul, faisant tressaillir Odile qui se laisse aller, appréciant le doigt qui va et vient dans son anus, se doutant que son mari va la baiser et la sodomiser sous peu.
Elle ne peut sempêcher de penser que cest tout de même grâce à ce qu'elle a connu avec Edmond qui l'a décoincée dans cette même chambre, quelle peut offrir son corps nu à son mari sans éprouver la honte qui était la sienne auparavant. Elle en vient même à regretter de ne pas avoir permis plus tôt à son mari ce quil est en train de lui faire à présent. La bouche et la langue de Michel sactivent furieusement sur sa chatte et son bourgeon damour, le doigt qui lui perfore la rosette senfonce inexorablement dans le conduit rectal lui provoquant des sensations inouïes. Odile jouit de ses deux orifices, ne pouvant sempêcher de hurler lorsquun orgasme fulgurant la saisit, sévanouissant presque sous le bonheur éprouvé. Michel vient sallonger sur elle et lembrasse sur les lèvres, dabord avec une grande délicatesse puis de plus en plus fougueusement. Elle reprend ses esprits sous les baisers conjugaux et réalise que le bâton rigide qui ballote entre ses cuisses se trouve être la verge de son époux.
Michel écarte les cuisses pleines de son épouse, puis, tenant sa verge en main, il caresse avec le gland le clitoris et les replis de la vulve. Odile qui reprend peu à peu ses esprits, se complait dans les caresses de cette bite sur son intimité. Le gland qui glisse sur sa chair est incommensurablement agréable, aussi, elle se meut en même temps, levant son bassin face au sexe qui bat entre ses cuisses, allant impudemment au-devant de la queue, venant sempaler inexorablement, alors que la pine senfonce, lentement, jusquau fond de la matrice offerte. Odile, lance ses jambes autour de la taille de son homme, les nouant ensemble avec ses pieds, venant coller son pubis au bas-ventre de son mari, répondant coup pour coup à la verge qui pilonne son vagin.
Michel pourtant en veut plus, il se dégage du vagin de sa femme qui proteste, voulant quil reste en elle. Mais il prend sa queue dans la main et sans hésiter, la présentant devant lillet quil convoite, il entre dun seul coup dans le conduit rectal, faisant pousser un hurlement à Odile qui se surprend à adorer cette sensation dêtre e ainsi. Heureusement, son cul a été tellement bien préparé par Edmond. Son mari la déjà enculé à plusieurs reprises et le notaire lui a agrandi outrageusement son trou de balle. Ainsi, elle na même pas eu de douleur à lintromission brutale de la verge qui laboure à présent ses entrailles. Elle na plus quune envie, jouir de sa chair malmenée, prenant un plaisir inouï à la queue qui lencule proprement. De brefs orgasmes se succèdent jusquà ce quun autre plus puissant la fasse rugir dallégresse.
Odile et Michel se font servir un repas dans la suite, sablant au Champagne ce début de Week End qui commence sous de bons augures. Odile se fait chatte auprès de son mari, lenlaçant et lembrassant comme elle ne la jamais fait en plus de vingt ans de mariage.
À suivre
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